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									| Oliver Sacks | 
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						texte de Peter Brook et Marie-Hélène Estienne  
								d’après l’homme qui prenait sa femme pour un chapeau de Oliver Sacks  
								mise en scène : François Godart 
								création son et vidéo : Juliette Galamez 
								costumes : Émilie Dufossé 
								avec : Henri Botte et Bruno Buffoli-Granovsky 
								 
								Production Comédie de Picardie 
							 
							 
						                              
							 
						  Durée : 1h15 
						 
						décembre 
						Doullennais 03 22 77 80 00 
						    Lucheux Mardi 9 
						    Authieule Mercredi 10 
						    Grouches Luchuel Jeudi 11 
						    Outrebois vendredi 12 
						 
						Plateau Picard 03 44 78 70 02 
						    Ravenel lundi 15 
						    Fournival mardi 16 décembre 
						    Saint Just en Chaussée merccredi 17 
						    Maignelay jeudi 18 
						    Catillon-Fumechon vendredi 19 
						 
						janvier 
						Le Mail / Soissons du lundi 12 au vendredi 16 
						03 23 76 77 70 
						Théâtre des Poissons / Frocourt jeudi 22, 
							vendredi 23 et samedi 24 
						03 44 02 35 79 
						Hirson 03 23 58 38 88 / 
						    Landouzy-la-Ville lundi 26, 
						    Watigny mercredi 28, 
						    Ohis jeudi 29, 
						    Hirson vendredi 30, 
						    St Michel en Thiérache samedi 31 
						 
						février 
						Pays de la Serre mar 3, mer 4 et ven 6 
						03 23 80 77 22 
						Picardie Verte du lundi 9 au vendredi 13 
						03 44 04 53 90 
						 
						mars 
						Val de Noye du mardi 10 au samedi 14 
						03 22 41 70 70 
						 
						 
						                              
						 
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						François Godart s’aventure sur de nouvelles terres, fascinantes et déroutantes, qui explorent le cerveau et ses mystères. Il met en scène le texte de Peter Brook d’après l’ouvrage du neuro-psychologue Oliver Sacks, L’Homme qui prenait sa femme pour un chapeau.  
						Cette pièce représente patients et médecins dans leur vérité, leur humanité, leur nécessaire complicité. Les patients cités par Oliver Sacks comptent parmi les cas cliniques les plus insolites et les plus extrêmes. La difficulté d’être et de vivre de ces patients montre à quel point l’homme est une machine complexe, voire parfois indéchiffrable. 
						 
						François Godart emmène avec humour le spectateur dans des sphères inconnues, chez des êtres où la perception du monde et de soi est altérée. 
						 
						  
						
						  
						 
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