|
|
Jean-Paul Sartre |
|
mise en scène : Guy Pierre Couleau
dramaturgie : Guillaume Clayssen
scénographie : Raymond Sarti
costumes : Laurianne Scimemi
lumières : Laurent Schneegans
musique : Philippe Miller
vidéo : Michel Fouquet
avec : Gauthier Baillot, Xavier Chevereau, Michel Fouquet, François Kergourlay,
Flore Lefebvre des Noëttes, Anne Le Guernec, Nils Ohlund, Olivier Peigné, Stéphane Russel
Production Cie des lumières & des ombres,
Théâtre d’Angoulême, Scène nationale
Coproduction La passerelle, Scène nationale de Gap et des Alpes du Sud, Comédie de l’Est - CDR d’Alsace.
durée : 2h30 - tarif B
novembre
mardi 24 à 20H30
mercredi 25 à 19h30
jeudi 26 à 20h30
vendredi 27 à 20h30
|
|
Guy Pierre Couleau fait entendre la dialectique
sartrienne entre mensonge et vérité.
Qu’est-ce que l’engagement ? Comment se justifie la légitimité d’un combat politique ? Comment s’articulent et se définissent la vérité et le mensonge au cœur de ce combat ? La relation qui se noue entre plusieurs intellectuels français et le Parti communiste après 1945 amplifie à bien des égards les enjeux philosophiques de ces questions.
Le jeune Hugo, militant communiste d’origine bourgeoise, est candidat pour assassiner Hoederer, chef du Parti accusé d’avoir trahi en s’alliant aux forces conservatrices. Engagé comme secrétaire auprès de lui, il est déchiré par une lutte intime et par ses atermoiements.
Sans parti pris idéologique, la pièce s’appuie sur les situations du réel, crée un suspense psychologique palpitant, incite à la réflexion critique sur les notions de liberté, responsabilité et aliénation. Selon le metteur en scène «chaque mot, chaque réplique trouve sa légitimité dans sa propre capacité à remuer sens et pensée ».
Un théâtre remarquablement stimulant, où la vérité humaine transcende l’affrontement politique.
|
|
|
|