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Gilles Defacque auteur



mise en scène :
François Godart

avec :
Adeline-Fleur Baude, Bernard Debreyne, Janie Follet et Flavien Tassart

lumière :
Paul Beaureilles
son : Martin Hennart et Gilles Gauvin
scénographie : Daniel Fayet
costumes : Emilie Dufossé

Coproduction Comédie de Picardie, Théâtre du Prato



durée envisagée : 1h30

mars
Picardie Verte
du mardi 23 (Songeons) au vendredi 26
Montdidier
samedi 27

avril
Ham jeudi 1er
Val de Nièvre
vendredi 2
Hirson
du lundi 19 au mardi 21 et samedi 24
Plateau Picard
jeudi 22 et vendredi 23
Doullennais
mercredi 28 et Jeudi 29
Péronne
vendredi 30

mai
Pays de la Serre du mardi 5 au vendredi 7
Sacy-le-Grand
mardi 11

Communauté de communes d'Ailly-sur-Noye :
Cottenchy mardi 18 (20h30)
Lawarde-Mauger mercredi 19 (20h30)
Sourdon jeudi 20 (20h30)
Grivesne vendredi 21 (20h30)

Quend Plage
samedi 22

Sud Ouest amiénois :
Ornoy-le-Bourg jeudi 27 (15h00)
Bougainville vendredi 28 (20h30)
Caulieres samedi 29 (20h30)





Un théâtre de notre temps, éloigné de tout réalisme, drôle et tellement vrai !



Un quatuor de comédiens utilise la scène pour donner corps et vie à la relation entre les sexes, sous la plume de l’auteur Gilles Defacques, et dans la mise en scène de François Godart, déjà présent à la Comédie la saison dernière avec L’homme qui de Peter Brook.

Il s’agit de deux couples à deux âges de la vie, la génération des trentenaires et celle de leurs parents. Sans fil narratif précis, une succession de saynètes retrace des parcours de vie et définit les identités féminines et masculines au sein du noyau familial et de la société. Les rencontres ou obligations ponctuent le quotidien, au fil des fêtes calendaires, Noël, Nouvel An ou Toussaint.

L’univers de l’auteur rejoint la farce à la fois mordante et tendre de Dario Fo, la dérision de Beckett, et l’absurdité grotesque d’Alfred Jarry. Un style détonant où le spectateur saura reconnaître des moments de pure vérité, d’autant que le metteur en scène a l’intention de jouer la pièce dans un dispositif de proximité avec le public.

«C’est une sorte de théâtre-journal, pour expulser les infos, expulser le monde qui nous dévore. »précise l’auteur. Et surtout sans perdre le sens de l’humour.

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