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à l’affiche du 31 mars au 3 avril




Le théâtre comme art burlesque ! Pierre Guillois met en scène avec virtuosité la tortueuse et loufoque cohabitation de trois solitudes.

Des hauts et des bas, des allers-retours, des va-et-vient, des rêves et des cauchemars, des attirances et des séparations… La vie est ainsi faite de tumulte, et de mille contradictions. Pour en parler, Pierre Guillois a décidé de se passer des mots. Inspiré notamment par Charlie Chaplin, Jacques Tati ou Jérôme Deschamps, son travail se fonde ici sur le corps et le burlesque, à partir de l'acteur et de l'humain.

Les trois acteurs impliqués ont indiscutablement le talent et la virtuosité nécessaires pour mener à bien cette passionnante et patiente entreprise. Ils sont trois. Deux hommes - Olivier Martin-Salvan et Pierre Guillois - et une femme - Agathe L'Huillier. Une femme qui lorsqu'elle vient s'installer sur le même palier qu'eux trouble fort la routine.

Sur scène, sont alignées trois chambres sous les toits : l'une blanche, nette et rangée, avec quelques outils technologiques, l'autre hétéroclite et dans un total désordre, et celle de la nouvelle venue, très bien arrangée. Grâce à un savoureux sens du détail et à un rapport aux objets décalé et loufoque, dévoilant l'absurde infini du quotidien, la mise en scène révèle toute la solitude et la précarité de ces habitants vraiment touchants.

La catastrophe produit le rire et… une forme de tendresse pour ces êtres profondément seuls. Un joyeux délire impeccablement orchestré pour moquer l'âpreté du réel !




Revue de presse :



Amateurs d'intraveineuses au vinaigre, intellos de la sinistrose hexagonale ou hérauts du french bashing, évitez de franchir les portes [du théâtre] vous risqueriez la contamination de spectateurs hilares, frôlant même la crise de fou rire, emportés par les délires visuels de Pierre Guillois et de ses acolytes.
Le progrès - Antoni Mafra

Bigre est un concentré d'amour noir et d'humour vache, on en sort un peu avec la gueule de bois, on pense à Apollinaire qui voyait si juste « Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire ».
Ouest-France




© Comédie de Picardie   Crédits   Création graphique : tri-angles





conception et mise en scène : pierre guillois

assistant : robin causse
costumes : axel aust
décor : laura léonard
lumières :
marie-hélène pinon
administration :
sophie perret
coiffures / maquillage : Catherine Saint-Sever
son : Roland Auffret
effets spéciaux : Abdul Alafrez
construction décor : atelier JIPANCO et l'équipe technique du Quartz, Scène nationale de Brest
régie générale & lumières : David Carreira
régie générale plateau : Ludovic Perché
régie son : Loïc Le Cadre

avec : pierre guillois, agathe l'huillier et olivier martin-salvan

Production : Le Fils du Grand Réseau
Le Quartz, Scène nationale de Brest / Le Théâtre de L'Union – Limoges, Centre Dramatique National du Limousin / Le Théâtre de la Croix Rousse – Lyon

Soutien : Lilas en scène, Centre d'échange et de création des arts de la scène


site internet de la compagnie : www.pierreguillois.fr

> dossier pédagogique

durée envisagée : 1h25

mars/avril


mardi 31 à 20h30
mercredi 1
er à 19h30
jeudi 2 à 20h30
vendredi 3 à 20h30