j’ai rêvé la révolution
texte et mise en scène : catherine anne
(ÉDITION ACTES SUD-PAPIERS)
co-mise en scène : françoise fouquet
avec : catherine anne, luce mouchel, morgane réal, pol tronco
dramaturgie : pauline noblecourt
scénographie : élodie quenouillère
création costumes : alice duchange
création son : madame miniature
création lumière : michel theuil
maquillage, coiffure : pauline bry
régie générale : laurent lechenault
(ÉDITION ACTES SUD-PAPIERS)
co-mise en scène : françoise fouquet
avec : catherine anne, luce mouchel, morgane réal, pol tronco
dramaturgie : pauline noblecourt
scénographie : élodie quenouillère
création costumes : alice duchange
création son : madame miniature
création lumière : michel theuil
maquillage, coiffure : pauline bry
régie générale : laurent lechenault
EXTRAIT VIDÉO
olympe de gouges (1748-1793)
Native de Montauban, elle s’installe à Paris en 1770 et se rend célèbre sous la Révolution par la publication de sa fameuse Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne : « la femme naît libre et demeure égale à l’homme en droits. » Sous la Terreur, elle est arrêtée, condamnée par le Tribunal révolutionnaire et guillotinée en novembre 1793.catherine anne
Comédienne formée au Conservatoire de Paris, elle est aussi auteure. Elle a écrit sa première pièce en 1987, qui a été suivie par une trentaine d’œuvres publiées, traduites et représentées dans de nombreuses langues : Agnès (1994), Crocus et Fracas (2010), Comédies tragiques (2011). Elle a été auteure invitée à la Comédie de Picardie.
Durée : 1h50
jeudi 30 à 14h et 20h30
vendredi 31 à 20h30
janvier
mercredi 29 à 19h30jeudi 30 à 14h et 20h30
vendredi 31 à 20h30
Coproduction : À Brûle-pourpoint - Compagnie conventionnée par la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, MC2: - Grenoble, Château Rouge - Annemasse.
Soutiens : Adami et Théâtre des Quartiers d’Ivry - CDN. Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et de l’ENSATT.
Soutiens : Adami et Théâtre des Quartiers d’Ivry - CDN. Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et de l’ENSATT.
À partir de la figure d’Olympe de Gouges, Catherine Anne crée un théâtre épuré, intimiste et intemporel.
Le théâtre de l’auteure et metteuse en scène Catherine Anne se frotte toujours au réel, aux innombrables conflits et défis qui assaillent les hommes - et spécifiquement les femmes. Présenté à la Comédie de Picardie en 2014,Agnès hier et aujourd’hui explorait de manière saisissante l’emprise du pouvoir masculin sur le corps des femmes.
Librement inspiré par la vie et la mort d’Olympe de Gouges, pionnière du féminisme, guillotinée pour avoir dénoncé l’avènement d’une dictature révolutionnaire, J’ai rêvé la Révolution met en jeu un quatuor de personnages jamais nommés : la prisonnière conduite en cellule à cause de ses écrits ; le jeune soldat, figure de pouvoir pétrie de certitudes ; la mère du jeune soldat, qui souffre et déplore les violences de la Révolution ; la compagne du fils de la prisonnière, qui propose une éventuelle évasion.
Alors que la mort approche et que le monde s’effondre, les dialogues concis créent une partition remarquable qui révèle de manière poignante et limpide les fragilités humaines et les dérives autoritaires. Ni historique ni didactique, ce théâtre épuré et finement interprété s’attache à l’essentiel, au creux de la vérité des êtres, lorsque l’intime et le politique se mêlent tragiquement.
Un théâtre qui invite à la liberté contre toute forme d’oppression.
Le théâtre de l’auteure et metteuse en scène Catherine Anne se frotte toujours au réel, aux innombrables conflits et défis qui assaillent les hommes - et spécifiquement les femmes. Présenté à la Comédie de Picardie en 2014,Agnès hier et aujourd’hui explorait de manière saisissante l’emprise du pouvoir masculin sur le corps des femmes.
Librement inspiré par la vie et la mort d’Olympe de Gouges, pionnière du féminisme, guillotinée pour avoir dénoncé l’avènement d’une dictature révolutionnaire, J’ai rêvé la Révolution met en jeu un quatuor de personnages jamais nommés : la prisonnière conduite en cellule à cause de ses écrits ; le jeune soldat, figure de pouvoir pétrie de certitudes ; la mère du jeune soldat, qui souffre et déplore les violences de la Révolution ; la compagne du fils de la prisonnière, qui propose une éventuelle évasion.
Alors que la mort approche et que le monde s’effondre, les dialogues concis créent une partition remarquable qui révèle de manière poignante et limpide les fragilités humaines et les dérives autoritaires. Ni historique ni didactique, ce théâtre épuré et finement interprété s’attache à l’essentiel, au creux de la vérité des êtres, lorsque l’intime et le politique se mêlent tragiquement.
Un théâtre qui invite à la liberté contre toute forme d’oppression.
COMÉDIE DE PICARDIE
62 rue des Jacobins80000 Amiens
Tél. : 03 22 22 20 20
© Comédie de Picardie - Scène conventionnée d'intérêt national pour le développement de la création théâtrale en région
| Crédits | Création graphique : tri-angles |